Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les curiosités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une aspiration lente, une rite débarquée d’un geste ancestral répété à tout moment. https://deancwvtf.azzablog.com/34393186/la-matière-qui-répond