Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les attraits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une tic parvenue d’un geste familial répété constamment. https://voyancegratuiteenligneimm21098.iyublog.com/33357600/les-courbes-calmés