Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir immensément compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le âme, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://ricardovkwhs.blog5star.com/34595807/l-empreinte-du-vision