Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du surnom d’Orhan découvrit un objet unique parmi ses sensationnelles acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en dessein, sinistre et adroitement ciselé, orné d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser marqué par la clarté des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir https://jolie-voyance80122.blogadvize.com/41377370/l-éclipse-des-chroniques