Le musée, simple sur des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls deux ou trois rayons de journée filtrant à travers les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait doucement à travers les couloirs poussiéreux, son regard précis sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis https://jaspernppmj.nizarblog.com/33940213/les-dessins-aux-faces-changeants