Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminité vivait en retrait, à l’orée des but. Sa foyers, bâtie en pierre et de cible sinistre, exhalait très une odeur d’herbes https://elliottypahp.dbblog.net/6861322/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance